Yves Robert réalise le film "La Guerre des boutons" en 1962. Il s'agit de l'adaptation du roman éponyme de Louis Pergaud. A l'affiche, on retrouve André Treton, Martin Lartigue, Michel Galabru, Jacques Dufilho, Michel Isella, entre autres. Retour sur la réplique culte du film.
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La Guerre des boutons
Voici le synopsis du film La Guerre des boutons : Entre les enfants de deux villages voisins, les Longevernes menés par Lebrac et les Velrans, menés par l’Aztec, c’est la guerre. Mais le jour où les Velrans apostrophent Grangibus et Tigibus d’une insulte jusque-là inconnue des Longevernes, pourtant experts en jurons fleuris, la guerre prend un tour nouveau. La dernière grande bataille se traduit par la capture d’un prisonnier qu’il
Une réplique devenue culte
On se souvient des combats culs nus lors de la gentille guéguerre entre les gamins de Longeverne et ceux de Valrans. Mais ce dont on se souvient particulièrement, c'est la réplique du tout jeune Martin Lartigue, âgé de 9 ans lors du tournage, il incarne le Petit Gibus.
Ah ben mon vieux, si j'aurais su, j'aurais pô v'nu !
Cette célèbre réplique ne vient pas du roman qui a inspiré le film. Il s'agit de la reprise d'une réplique se trouvant dans la rubrique Une heure dix avec... parue en 1939 dans le n°61 de L'Os à moelle. Ce magazine est créé par l'humoriste Pierre Dac avant la Seconde Guerre mondiale. Ce dernier a repris cette phrase qui était en fait prononcée par le sculpteur Jean-Baptiste Carpeaux. Pour des raisons de droits d'auteur, elle n'est pas prononcée dans les remakes sortis en 2011.
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