Jonathan Barré connaît Grégoire Ludig et David Marsais depuis très longtemps, lorsqu'il réalise le film "La Folle histoire de Max et Léon" en 2016. Le duo comique s'est glissé dans la peau de deux personnages évoluant dans la France occupée.
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Le synopsis du film La Folle histoire de Max et Léon est le suivant : Le 3 septembre 1939, la France déclare la guerre à l'Allemagne. Le gouvernement décrète en même temps la mobilisation générale. À Mâcon en Saône-et-Loire, Max (David Marsais) et Léon (Grégoire Ludig) jouissent d'une solide réputation de « bons à rien ». Lors de la mobilisation, ils essayent de se faire réformer, mais en vain. Au départ, ce sont les conditions de la vie militaire qui vont leur déplaire au plus haut point. Pour se faire renvoyer à la maison, ils essaient même de se mutiler mutuellement, mais ils ne parviennent qu'à blesser l'adjudant Pichon, qui les a déjà dans son collimateur. Quand la défaite frappe, c'est encore moins réjouissant. Ils n'ont plus alors qu'une idée en tête : rentrer le plus vite possible et coûte que coûte chez eux.
Mais leurs essais de rejoindre Mâcon vont systématiquement échouer par la force des événements. Suite à toute sorte de malentendus et de quiproquos, les deux amis vont se retrouver dans des situations toutes plus rocambolesques les unes que les autres. Leurs aventures vont les mener à travers la France occupée, au Royaume-Uni et même jusqu'en Syrie.
Grégoire Ludig et David Marsais souhaitaient, à travers ces personnages qui évoluent dans la France occupée, faire écho à la jeune génération actuelle qui a du mal à s’investir dans un monde politique :
Nos personnages sont apolitiques, engagés en rien, indifférents aux luttes entre Vichy et la Résistance, ils veulent juste sauver leur peau. En ce sens, ils font un peu écho à notre génération, qui a dû mal à s’investir aujourd’hui dans un monde politique pas très engageant… L’intérêt pour nous était que, au cours de leurs tribulations, nos deux personnages, développent des réflexes humains, un sens de l’entraide, de la solidarité, une « humanité » disons, qu’ils ne soupçonnaient pas avoir en eux au départ.
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