Le film "Elle s'appelait Sarah" réalisé par Gilles Paquet-Brenner, s'inspire du roman du même nom, de Tatiana de Rosnay. On suit, à travers les yeux d'une journaliste, la vie d'une petite fille juive victime de la rafle du Vél' d'Hiv, et qui a été déportée en 1942.
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Le synopsis du film Elle s'appelait Sarah, est le suivant : Paris, de nos jours. Julia Jarmond, journaliste américaine installée en France depuis 20 ans, enquête sur l'épisode douloureux du Vél d'Hiv. En remontant les faits, son chemin croise celui de Sarah, une petite fille une fillette qui avait 10 ans en juillet 1942. Ce qui n'était que le sujet d'un article devient alors, pour Julia, un enjeu personnel, dévoilant un
Gilles Paquet-Brenner, le réalisateur du film, redoutait le tournage d'une des scènes importantes. Il s'agit de la terrible scène où les enfants sont séparés de leurs parents et doivent monter dans les trains. En effet, la pression était palpable pour le cinéaste puisque Annette Müller, auteure de La Petite fille du Vél’d’Hiv, qu'il avait rencontrée quelques jours plus tôt, était présente avec son petit frère Michel. Ensemble, ils ont vécu cet épisode dramatique en 1942. L'émotion fut donc au rendez-vous lors du tournage de cette séquence bouleversante.
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