Top des films qui ont marqué les années 80

Top des films qui ont marqué les années 80

Les années 80 regorgent de trésor, voici une petite liste de films à revoir, juste pour le plaisir.

À une époque où les Netflix ou autres plateformes de vidéo à la demande n’existaient pas. Dans un temps où les vidéoclubs se trouvaient à tous les coins de rue. Voici une modeste sélection de petits bijoux qui ont marqué les années d’enfance de votre cher serviteur, les années 80.

1) Les aventuriers de l’arche perdue (1981)

Qui ne connaît pas le look indémodable de cet aventurier au chapeau de cow-boy, au fouet à la place du colt et à la chemise toujours un peu sale. Indiana Jones bien sûr !

Le premier opus de la trilogie de Steven Spielberg avec Harrison Ford en professeur universitaire d’archéologie qui va braver tous les dangers pour récupérer le médaillon de Râ et le ramener au musée. L’un des classiques du genre.

 

2) Shining (1980)

Même sans avoir vu Shining, tout le monde connaît ce fameux plan où Jack Nicholson passe sa tête en travers d’une porte qu’il a auparavant fissurée avec une hache. Ce film rassemble surtout deux monstres sacrés Stephen King et Stanley Kubrick. Shining met en scène Jack Torrance, lors d’un hiver ce gardien va habiter un hôtel avec sa femme et son fils. Mais le petit garçon, Danny, qui possède un don de médium est effrayé à l’idée de ce lieu et des secrets qu’il renferme.

Le maître Stanley Kubrick donne une leçon de cinéma et d’épouvante, inoubliable !

 

3) Raging Bull (1980)

« You fuck my wife ? » Réplique culte donnée par Robert De Niro à Joe Pesci avant de lui mettre une droite. Raging Bull de Martin Scorsese retrace la carrière tumultueuse du champion de boxe des poids moyens, Jake La Motta. Issu des milieux modestes italiens de New-York, ce boxeur marqua par ses combats contre Robinson et Cerdan. Ce film présente surtout le déclin irrémédiable du boxeur prisonnier d’une personnalité autodestructrice. À travers quelques séquences cultes, notamment son KO contre Robinson, Martin Scorsese montre toute l’étendue de son talent pour la mise en scène.

 

4) La guerre du feu (1981)

La guerre du feu, réalisé par Jean Jacques Annaud est un ovni dans l’histoire du cinéma, une performance à tout niveau aussi bien qu’un grand film. La guerre du feu met en scène des homos sapiens à l’âge de pierre. Après qu’ils viennent d’être attaqués par une tribu ennemie qui pourchasse son feu, les survivants désignent trois guerriers pour retrouver le feu, objet de convoitise et de luttes, mais indispensable à la survie de l’espèce. Lors de ce voyage ces hommes vous découvrir l’amour, la connaissance et l’évolution.

La guerre du feu est une performance quasi-unique, car la mise en œuvre de Jean Jacques Annaud sur la communication de ses personnages préhistoriques, leur gestuelle, leur comportement relève d’un travail incroyable et le résultat ne l’est pas moins.

 

5) Garde à vue (1981)

Un huis clos avec deux monstres du cinéma français, Lino Ventura et Michel Serrault. Un soir de 31 décembre l’inspecteur Galien (Lino Ventura) convoque Jérôme Martinaud (Michel Serrault), petit notaire à la vie monotone, afin de revenir avec lui sur son témoignage concernant le viol et le meurtre de deux petites filles. Persuader de sa culpabilité Galien et son collègue vont tout mettre en œuvre pour connaître la vérité et le place en garde à vue. Durant celle-ci, les deux inspecteurs vont tout faire pour le faire avouer, mais malgré leurs efforts Martinaud ne craque pas. C’est alors que la femme du notaire (Romy Scheider) fait son apparition pour amener un témoignage décisif.

Le résultat donne un duel incroyable et inoubliable.

 

6) The Dark Cristal (1982)

The Dark Cristal est ce type de film un peu oublié, mais qui fait dire au regard des premières images : « Mais oui ! J’ai vu ce film quand j’étais petit ». The Dark Cristal est un film fantastique qui transporte le spectateur dans un monde fantaisiste peuplé de créature bizarre. Jen et Kira, seul survivant de la race des Gelfings, partent à la recherche d’un cristal magique qui a le pouvoir de donner force et puissance aux Mystiques, un peuple sage et pacifique. Mais pour cela, ils vont devoir affronter les cruels Skekses qui les réduisent en esclavage.

C’était un temps où le carton-pâte remplaçait l’image de synthèse, avec tout autant d’imagination.

 

7) Il était une fois en Amérique (1984)

Il était une fois un chef-d’œuvre de Sergio Leone. Il était une fois la sublime partition de Morricone. Il était une fois la mélancolie de l’enfance, avec son éternelle amitié et ses amours impossibles. Il était une fois la violence des quartiers pauvres de New-York durant la prohibition. Il était une fois la trahison, la culpabilité et les regrets.

À voir ou à revoir tout simplement.

 

8) Retour vers le futur (1985)

Et si un jeune homme retournait dans le passé et rencontrait ses parents ? Tel est l’interrogation que soulève le film de Robert Zemeckis. Marty McFly et le professeur Emmett Brown ont profondément marqué une génération. C’est ainsi que le jeune Marty McFly, dont le père s’avère une carpette, se retrouve malencontreusement à retourner dans le passé au volant d’une Delorean. En plus de devoir trouver une solution pour revenir dans son époque ce dernier se retrouve à devoir arranger un rencard à ses parents après avoir accidentellement pris la place de son père lors de leur première rencontre. Et comme le dit ce bon vieux Doc: « les conséquences peuvent être catastrophiques ».

 

9) Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin (1986)

« C’est une belle lame. Au revoir monsieur Burton ! » Les aventures de Jack Burton où plus précisément un camionneur se retrouve plongé à Chinatown à devoir se battre contre un sorcier chinois qui veut épouser la fiancée de son ami afin de récupérer son enveloppe charnelle. Le camionneur se voit embarqué au milieu de combattant d’arts martiaux et de magie noire. Pas de problème pour ce bon vieux Jack Burton, lui est armé… De sa b*** et son couteau.

 

10) Histoires de fantômes chinois (1987)

Attention ! Ne tombez pas amoureux d’elle, c’est un fantôme. Les histoires d’amour sont un classique au cinéma. Mais une histoire d’amour est d’autant plus impossible lorsque la femme désirée est un fantôme condamner à séduire les guerriers qui s’aventurent dans son temple maudit. C’est à fortiori encore plus compliqué lorsqu’arrive un jeune homme aussi maladroit que naïf. Et ça devient complètement problématique lorsque les deux sont poursuivis par une langue maléfique.

Un petit bijou à découvrir, mais gare à ne pas tomber sous le charme de la belle âme perdue.