En 2016, Virginie Efira donnait la réplique à Géraldine Nakache et Grégoire Ludig dans la comédie "Et ta sœur" de Marion Vernoux. Un film qui a nécessité une scène de sexe réaliste entre Virginie Efira et Grégoire Ludig. Le long-métrage est à (re)voir ce soir sur TFX.
Et ta sœur : Virginie Efira dans un triangle amoureux
Sortie en 2016, la comédie Et ta sœur signée Marion Vernoux est le remake français du film anglais Ma meilleure amie, sa sœur et moi (avec Emily Blunt) sorti en 2013.
L'intrigue du film se déroule autour de Pierrick, un homme profondément affecté par le décès récent de son frère. En quête de réconfort et d'isolement pour réfléchir sur sa vie, il accepte l'invitation de Tessa, sa meilleure amie, de passer une semaine seul dans sa maison familiale. Cependant, à son arrivée, il découvre que la maison est déjà occupée par Marie, la demi-sœur de Tessa, qui y séjourne pour se remettre d'une peine de cœur. Leur cohabitation inattendue prend une tournure encore plus complexe après une soirée bien arrosée, marquée par l'arrivée surprise de Tessa elle-même. Ce trio improbable se retrouve alors embarqué dans une série de situations délicates et de révélations inattendues, tissant entre eux des liens et des tensions qui dévoilent les complexités des relations humaines et de la guérison émotionnelle.
Au casting du film Et ta sœur, on retrouve Virginie Efira, Grégoire Ludig et Géraldine Nakache.
Malgré ces têtes d'affiche, la comédie de Marion Vernoux n'a pas connu un grand succès dans les salles, n'attirant que 133 000 spectateurs en cinq semaines d'exploitation.
Une scène intime avec Grégoire Ludig
Dans Et ta sœur, Virginie Efira incarne une femme lesbienne, qui cherche à tout prix à devenir maman. C'est la raison pour laquelle elle décide de coucher avec le personnage incarné par Grégoire Ludig, après une soirée arrosée. Une scène qui nécessitait d'être réaliste, selon les propos de Virginie Efira, au moment de la sortie du film :
Nous avons beaucoup parlé avant de tourner, notamment sur la manière de définir la sexualité de Marie. Le fait qu’elle soit lesbienne ne devait pas justifier une attitude corporelle précise. Il fallait juste que je gomme certaines petites choses et par exemple, sur la scène où l’on voit mes fesses, que je m’en remette totalement à Marion… Quant à la scène de sexe avec Grégoire, elle devait avoir une forme de réalisme pour que ce soit drôle aussi. La sexualité me fait souvent rire dans les films américains, alors qu’ils ont encore plus de carcans que nous, et en France c’est généralement associé à du gag ou des ellipses qui gomment carrément le sujet !