Découvrez ci-dessus les nouvelles images de ce film d'horreur attendu dans les salles le 10 avril 2024 et qui s'annonce bien flippant. Il s'agit du préquel à "La Malédiction" de Richard Donner.
Damien : l'enfant diabolique qui a traumatisé une génération
Sorti en 1976, La Malédiction est rapidement devenu un incontournable du cinéma d'horreur, traumatisant une génération entière de spectateurs. Mis en scène par Richard Donner, le film raconte l'histoire de Robert Thorn (Gregory Peck), un diplomate américain, qui adopte un enfant après la mort de son propre bébé sans en informer son épouse. Peu à peu, une série d'événements macabres et mystérieux conduit Robert Thorn à découvrir que son fils adoptif, Damien, n'est autre que l'Antéchrist en personne.
À sa sortie, La Malédiction connaît un énorme succès, avec près de 61 millions de dollars récoltés au box-office mondial, pour un budget de seulement 2,8 millions de dollars. Il décroche en outre l'Oscar de la meilleure musique l'année suivante.
Le succès du film conduit à la naissance d'une franchise, comptant deux suites, sorties en 1978 et 1981 au cinéma, un téléfilm, en 1991, et un remake, sorti en 2006.
La Malédiction : le préquel arrive en avril
Dix-huit ans après le dernier film, la franchise renaît de ses cendres avec un préquel, tout simplement intitulé La Malédiction : l'origine, qui arrivera dans nos salles le 10 avril prochain.
Réalisé par Arkasha Stevenson, ce nouveau film nous entraînera à Rome, où une jeune Américaine, nommée Margaret (Nell Tiger Free), débute une nouvelle vie au service de l'Église. Rapidement, elle est assaillie par des forces obscures et confrontée à une terrifiante conspiration dont le but ultime est de donner naissance au mal incarné. Ce voyage l'amène à remettre en question sa foi et à lutter pour démêler le vrai du faux dans un monde où les apparences sont trompeuses.
Au sujet de ce préquel, le producteur du film a déclaré qu'ils avaient cherché à "créer le sentiment de méfiance et de menace omniprésentes qui caractérise les films comme À cause d'un assasinat d'Alan J. Pakula ou Répulsion de Roman Polanski." Pour parvenir à un tel résultat, le producteur à déclaré qu'il avait fallu "ancrer le film dans la subjectivité de Margaret, en retraçant cette psyché qui se fracture et finir par se défaire".
Enfin, il conclut en précisant que le plus important a été de "plonger dans les terreurs qui nous habitent et dans le tumulte de l'époque dans laquelle nous vivons, tout en rendant justice à la genèse de Damien".
Rendez-vous le 10 avril en salles pour assister à la naissance de l'Antéchrist.