En 2013, au moment de la sortie du film "Diana", biopic sur la Princesse de Galles avec Naomi Watts dans le rôle titre, une polémique sur l'affiche avait eu lieu en France.
Diana : le premier biopic au cinéma
Disparue il y a déjà 25 ans, le 31 août 1997, Lady Diana a durablement marqué son époque et sa mort fut l'un des événements majeurs du XXe siècle. En 2013, après plusieurs téléfilms, le premier biopic sur la princesse sort au cinéma avec Naomi Watts dans le rôle-titre.
Le film s'intéresse à l'histoire passionnelle qu'a entretenue Diana avec le chirurgien Hasnat Khan entre 1995 et 1997. Doté d'un budget de 15 millions de dollars, le film est un échec cuisant au box-office mondial avec seulement 21 millions de dollars de recettes engrangés. Il reçoit également un accueil glacial du public et des critiques. Mis en scène par Oliver Hirschbiegel (La Chute), il a également été au centre d'une polémique suite à une affiche du film placée à un endroit on ne peut plus... inopportun.
L'affiche de la controverse
Sorti le 2 octobre 2013 dans les salles françaises, Diana n'a attiré qu'un peu plus de 300 000 curieux. Un échec pour le distributeur français Le Pacte qui a également dû faire face à une polémique inattendue.
En effet, au moment de la sortie, une affiche du film avait été placée à l'entrée du pont de l'Alma à Paris. Soit le lieu où la princesse de Galles avait trouvé la mort le 31 août 1997 dans un dramatique accident de voiture. Plusieurs médias anglais s'étaient alors insurgés de cette affiche.
Suite à cette polémique outre-Manche, le distributeur Le Pacte avait demandé le retrait de l'affiche de 120cm par 176cm. Ce dernier ainsi que l'afficheur JCDecaux avaient déclaré qu'il s'agissait d'une simple coïncidence et non pas d'un positionnement délibéré.
Huit ans après la sortie de ce biopic, un autre film dédié à Lady Di a vu le jour : Spencer avec Kristen Stewart dans le rôle-titre. Réalisé par Pablo Larrain, il se déroule lors des fêtes de Noël 1991. Quelques jours durant lesquels Diana a décidé de divorcer de Charles. Une plongée vertigineuse dans l'âme d'une princesse tourmentée qui a eu du mal à trouver son public.