Depuis son arrivée sur Netflix ce 17 janvier, la mini-série "La Vérité kidnappée" connaît un gros succès auprès des abonnés, qui se passionnent pour cette histoire vraie aux multiples rebondissements, qui rappelle fortement le film "Gone Girl" de David Fincher.
La Vérité kidnappée : le nouveau crime drama qui passionne sur Netflix
Depuis plusieurs années maintenant, les spectateurs se passionnent pour les true crimes dramas, ces séries documentaires, qui reviennent sur des enquêtes criminelles aux multiples rebondissements. On pense notamment à L'Arnaqueur de Tinder, La disparue du Cecil Hotel, ou tout récemment La Vérité kidnappée : Du rêve au cauchemar américain, qui est arrivée sur Netflix ce 17 janvier, et qui fait déjà beaucoup parler d'elle pour son récit haletant.
Cette mini-série en trois épisodes raconte l'affaire d'Aaron Quinn et de Denise Huskins s'étant déroulée en 2015, et qui rappelle énormément le film Gone Girl de David Fincher, sorti un an plus tôt.
En effet, en 2015, un cas troublant secoue la ville de Vallejo en Californie. Denise Huskins, une jeune femme, est enlevée, et son partenaire Aaron Quinn alerte immédiatement la police. Cependant, au lieu de lancer une recherche approfondie, la police de Vallejo soupçonne rapidement le couple de fabriquer un canular. Cette suspicion est renforcée par la ressemblance de leur histoire avec le scénario du film Gone Girl.
Un documentaire haletant
Les trois épisodes que contient la mini-série La Vérité kidnappée ont été réalisés, de manière à ce que les spectateurs ne se doutent pas du dénouement de l'histoire, jusqu'au dernier épisode. La série utilise des interviews, des images d'archives et des témoignages pour reconstruire les événements. Chaque épisode se concentre sur une perspective différente – celle d'Aaron Quinn, de Denise Huskins et des "autres" impliqués dans l'affaire, comme la famille, les avocats et la police.
Ce format permet de présenter un récit nuancé et complexe, incitant les spectateurs à constamment remettre en question leurs hypothèses, et à voir leurs certitudes bouleversées par l'épisode suivant.
L'affaire montrée dans La Vérité kidnappée soulève des questions sur la présomption d'innocence et les préjugés médiatiques, illustrant les dangers d'une enquête biaisée et d'une couverture médiatique sensationnaliste.